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Si le mouvement postmoderne en architecture a désormais « fait son temps », ici délimité par les années 1973 et 1993, il semble que les questions qui l’avaient vu naître (crise des ressources et de l’énergie, partage de références et de valeurs – sociales notamment –, rejet du modernisme froid et rationnel, rapport contrarié à l’histoire…) demeurent d’une brûlante actualité.