Construire un bâtiment public impose une démarche conceptuelle, technique esthétique et symbolique.
Le projet d’une école élémentaire exprime, par son écriture et sa composition, un édifice public destiné
aux jeunes enfants. L’école procède d’une réflexion axée sur une logique d’insertion douce à l’environnement et sensible de coeur de quartier, calme et résidentiel, avec des espaces arborés aux ambiances apaisées.
Un soin particulier a été apporté à son intégration et à l’impact de sa volumétrie dans contexte urbain dense. Ce projet s’inscrit dans un contexte scolaire déjà présent avec l’école maternelle Jacqueline Quatremaire et la crèche municipale La Farandole.
Le projet a été conçu en s’appuyant sur 5 principes majeurs:
1. Mise en scène d’un bâtiment public à l’échelle du quartier
2. Qualité et souplesse spatiale des espaces intérieurs : confort acoustique, confort thermique, ambiance lumineuse, échelle adaptée et modularité des espaces
3. Simplicité des accès, flux et des parcours avec une vue permanente sur les enfants.
4. Clarté des programmes et fonctions, compréhension spatiale et facilité de parcours des jeunes enfants.
5. Exigence environnementale, maîtrise des usages et de maintenance dans le temps.
Parti architectural
L’enjeu de ce projet réside dans la réalisation d’un futur équipement important à l’échelle du quartier en préservant et respectant la qualité des espaces et des ambiances existantes.
Nous avons donc proposé :
- Un projet inscrit et lisible dans le site
- Un plan compact et fonctionnel à l’emprise au sol limitée ; sécure pour les futurs utilisateurs.
- Une implantation des salles de classe selon l’orientation la plus favorable (Ouest) et sur la cour de récréation.
- Une mise en relation étroite entre l’école maternelle et la nouvelle école élémentaire.
- Une cohérence des traitements de façades en fonction des programmes et des espaces auxquels elles font face.
- Un respect des objectifs thermiques et environnementaux.
L’école élémentaire Simone de Beauvoir s’intègre dans le site par sa volumétrie simple, la lisibilité de ses fonctions et le traitement de l’accès depuis la rue Jacqueline Quatremaire.
Le projet proposé n’est ni l’adjonction d’un volume hétérogène, ni le mimétisme de l’école existante.
Il se présente sous la forme de deux quadrilatères en bois posés sur un socle de pierre calcaire largement vitré côté cour et fermé à l’arrière, côté espace public.
Le nouveau bâtiment s’implante selon une composition en L pour, d’une part, dégager une surface libre optimale au sol et, d’autre part, créer une limite avec le square Jules Guesde et les deux tours d’habitation de 18 niveaux.
Conformément à la demande de la ville de Drancy, nous avons réalisé un bâtiment orienté vers le coeur du groupe scolaire et isolé des nuisances du square Jules Guesde. Le solide en bois se pose sur un socle « résistant » en maçonnerie ; il se présente face à l’école maternelle existante.
Le travail des ouvertures en fonction de son implantation sur la parcelle dessine le projet :
Ouvertures limitées sur le square et les deux tours d’habitations. Sur la cour, le bâtiment s’ouvre généreusement et laisse à voir les salles à vocation scolaire, des lieux de détente et loisirs.
Le projet propose un rez-de-chaussée largement vitré qui forme un «centre de vie». L’école, lieu d’enseignement est aussi un lieu de vie sociale, d’échange, dont la dimension éducative dépasse la simple fonction d’enseignement.
Le préau unit les fonctions implantées à rez-de-chaussée ; plus qu’un geste architectural, c’est un élément de repère pour les futurs enfants qui unit les différents pôles pédagogiques à RDC.
Les deux écoles possèdent leur cour de récréation isolées par une clôture et une ligne végétale qui préserve des vues et des contacts entre les enfants.
Le projet a été conçu en s’appuyant sur 5 principes majeurs:
1. Mise en scène d’un bâtiment public à l’échelle du quartier
2. Qualité et souplesse spatiale des espaces intérieurs : confort acoustique, confort thermique, ambiance lumineuse, échelle adaptée et modularité des espaces
3. Simplicité des accès, flux et des parcours avec une vue permanente sur les enfants.
4. Clarté des programmes et fonctions, compréhension spatiale et facilité de parcours des jeunes enfants.
5. Exigence environnementale, maîtrise des usages et de maintenance dans le temps.
Parti architectural
L’enjeu de ce projet réside dans la réalisation d’un futur équipement important à l’échelle du quartier en préservant et respectant la qualité des espaces et des ambiances existantes.
Nous avons donc proposé :
- Un projet inscrit et lisible dans le site
- Un plan compact et fonctionnel à l’emprise au sol limitée ; sécure pour les futurs utilisateurs.
- Une implantation des salles de classe selon l’orientation la plus favorable (Ouest) et sur la cour de récréation.
- Une mise en relation étroite entre l’école maternelle et la nouvelle école élémentaire.
- Une cohérence des traitements de façades en fonction des programmes et des espaces auxquels elles font face.
- Un respect des objectifs thermiques et environnementaux.
L’école élémentaire Simone de Beauvoir s’intègre dans le site par sa volumétrie simple, la lisibilité de ses fonctions et le traitement de l’accès depuis la rue Jacqueline Quatremaire.
Le projet proposé n’est ni l’adjonction d’un volume hétérogène, ni le mimétisme de l’école existante.
Il se présente sous la forme de deux quadrilatères en bois posés sur un socle de pierre calcaire largement vitré côté cour et fermé à l’arrière, côté espace public.
Le nouveau bâtiment s’implante selon une composition en L pour, d’une part, dégager une surface libre optimale au sol et, d’autre part, créer une limite avec le square Jules Guesde et les deux tours d’habitation de 18 niveaux.
Conformément à la demande de la ville de Drancy, nous avons réalisé un bâtiment orienté vers le coeur du groupe scolaire et isolé des nuisances du square Jules Guesde. Le solide en bois se pose sur un socle « résistant » en maçonnerie ; il se présente face à l’école maternelle existante.
Le travail des ouvertures en fonction de son implantation sur la parcelle dessine le projet :
Ouvertures limitées sur le square et les deux tours d’habitations. Sur la cour, le bâtiment s’ouvre généreusement et laisse à voir les salles à vocation scolaire, des lieux de détente et loisirs.
Le projet propose un rez-de-chaussée largement vitré qui forme un «centre de vie». L’école, lieu d’enseignement est aussi un lieu de vie sociale, d’échange, dont la dimension éducative dépasse la simple fonction d’enseignement.
Le préau unit les fonctions implantées à rez-de-chaussée ; plus qu’un geste architectural, c’est un élément de repère pour les futurs enfants qui unit les différents pôles pédagogiques à RDC.
Les deux écoles possèdent leur cour de récréation isolées par une clôture et une ligne végétale qui préserve des vues et des contacts entre les enfants.
