Deux Immeubles de 83 logements libres et 62 logements à loyers maîtrisés, Gausa Raveau actarquitectura SLP, Avenier Cornejo Architectes, Altarea Cogedim et Linkcity Ile-de-France
Insertion urbaine
Sauts d’échelle pour comprendre le lieu
Le site est intégré dans le réseau multi‐urbain de Paris, de la Grande Couronne et des principaux espaces verts et réseaux infrastructurels. La ZAC Clichy‐Batignolles est perçue comme un nouveau paysage de liaison, une grande porte urbaine ouverte le long des grands arcs territoriaux vers la ville historique.
Le site devient une importante plateforme urbaine, un nœud d’échange inséré dans le système de grands espaces relationnels parisiens. Il tiendra un rôle de permutation entre échelles que se soit du point de vue territorial, urbain, environnemental, social, culturel, et infrastructure. La ZAC agit donc comme un dispositif de résonnance et de transfert multi‐urbain.
La ZAC Clichy‐Batignolles et le Parc Martin Luther King se fondent en un grand espace relationnel, une interface de lignes de connexion et de relations urbaines : lignes de force, lignes de flux, lignes de liaison et d´interaction.
En écho avec les bâtiments mitoyens, le projet s’inscrit dans une élégance cohérente et homogène.
Un ilot traversant
L’une des caractéristiques fondamentales du projet est la création d’une percée quasi complète dans l’îlot, perpendiculairement au parc Martin Luther King. Cette percée agit comme une véritable extension du parc, le prolongeant au cœur de l’ilot et l’amenant jusqu’à la rue et au delà, jusqu’au lot E9.
Ainsi rien ne vient obstruer la vue depuis le parc sur ce dernier et inversement. Le groupe scolaire et les logements jouiront donc également de perspectives relativement dégagées sur le parc.
De plus, une grande transparence a été recherchée au niveau du socle du projet, parachevant l’idée d’un lien maximal depuis le parc vers la rue.
Recherche de compacité et de vues
Cette percé constitue également une intégration, très en amont de la conception architecturale, d’une stratégie environnementale. Cette disposition implique en effet de construire des bâtiments plus épais que dans l’hypothèse d’une disposition en U.
Les immeubles ainsi créés seront ainsi plus denses et compacts, réduisant considérablement les déperditions énergétiques.
De plus, grâce à cette configuration, aucun logement ne sera mono‐orienté côté rue. Ils bénéficieront donc tous d’ouvertures sur le parc et d’un ensoleillement optimal.
Des masses en mouvement
Les deux bâtiments constituant les logements sont décomposés en volumes de hauteurs variables, la hauteur du bâtiment le plus haut étant 50m. Les blocs ainsi créés sont superposés puis décalés les uns par rapport autres.
L’objectif est de créer des mouvements dynamiques plus que des volumétries statiques, des rythmes plus que des objets fixes. Ces mouvements et ces rythmes associés à l’architecture déjà riche du contexte immédiat permettent d’inventer une nouvelle “musique de la ville”.
Ces décalages permettent également de créer plus d’espaces extérieurs et d’optimiser les règles d’urbanisme, notamment les prospects.
La stratégie architecturale de ce projet est le fruit d’une réflexion poussée pour éviter un classement IGH du bâtiment.
Performances Environnementales HQE
Certification Habitat & Environnement profil A. Certification BBC Effinergie
Performances thermique des bâtiments avec réduction des besoins de chauffages à 14 kwh/m2/an.
Respect du Plan Climat de la Ville de Paris Production photovoltaïque exigée : 44MWh€/an
L’audit CPEDD du projet s’acte sur plusieurs points importants
Les objectifs de consommations (ceux apparaissant ci-dessous ont été négociés en phase PRO‐DCE) :
- Chauffage : 17,3 kWhep/m².an à Finalement, nous sommes plus performants avec 11,6
kWhep/m².an
- ECS : 23,1 kWhep/m².an à Finalement, nous sommes plus performants avec 22,1
kWhep/m².an
- Electricité usages collectifs : 43,2 kWhep/m².an à Finalement, nous sommes plus
performants avec 42,9 kWhep/m².an
Les objectifs du Plan Climat sont atteints : le projet global a des consommations en énergie totales inférieures à 50kWh/m²SHON.an. Nous sommes à 48 kWh/m².an.
Une production photovoltaïque mise en place : 49 790 kWhef/an soit 49,8 MWhef/an
Une Perméabilité à l’air de l’enveloppe des logements et partie FAM/PMI : Ces tests sont inférieurs à 1 m3/h.m². Actuellement, les tests sur les logements qui sont conformes (A : 0,309 et B : 0,49 m3/m².h)
Le confort d’été doit être analysé et explicité aux usagers afin qu’il puisse contrôler cet aspect au sein de leur logement. Dans notre cas, les Simulations Thermiques Dynamiques (STD) mettent en avant la nécessité de sur‐ventiler la nuit (en ouvrant les fenêtres) et l’installation de protections solaires. Le carnet de vie à destination des usagers met en lumière ces prescriptions.
Sauts d’échelle pour comprendre le lieu
Le site est intégré dans le réseau multi‐urbain de Paris, de la Grande Couronne et des principaux espaces verts et réseaux infrastructurels. La ZAC Clichy‐Batignolles est perçue comme un nouveau paysage de liaison, une grande porte urbaine ouverte le long des grands arcs territoriaux vers la ville historique.
Le site devient une importante plateforme urbaine, un nœud d’échange inséré dans le système de grands espaces relationnels parisiens. Il tiendra un rôle de permutation entre échelles que se soit du point de vue territorial, urbain, environnemental, social, culturel, et infrastructure. La ZAC agit donc comme un dispositif de résonnance et de transfert multi‐urbain.
La ZAC Clichy‐Batignolles et le Parc Martin Luther King se fondent en un grand espace relationnel, une interface de lignes de connexion et de relations urbaines : lignes de force, lignes de flux, lignes de liaison et d´interaction.
En écho avec les bâtiments mitoyens, le projet s’inscrit dans une élégance cohérente et homogène.
Un ilot traversant
L’une des caractéristiques fondamentales du projet est la création d’une percée quasi complète dans l’îlot, perpendiculairement au parc Martin Luther King. Cette percée agit comme une véritable extension du parc, le prolongeant au cœur de l’ilot et l’amenant jusqu’à la rue et au delà, jusqu’au lot E9.
Ainsi rien ne vient obstruer la vue depuis le parc sur ce dernier et inversement. Le groupe scolaire et les logements jouiront donc également de perspectives relativement dégagées sur le parc.
De plus, une grande transparence a été recherchée au niveau du socle du projet, parachevant l’idée d’un lien maximal depuis le parc vers la rue.
Recherche de compacité et de vues
Cette percé constitue également une intégration, très en amont de la conception architecturale, d’une stratégie environnementale. Cette disposition implique en effet de construire des bâtiments plus épais que dans l’hypothèse d’une disposition en U.
Les immeubles ainsi créés seront ainsi plus denses et compacts, réduisant considérablement les déperditions énergétiques.
De plus, grâce à cette configuration, aucun logement ne sera mono‐orienté côté rue. Ils bénéficieront donc tous d’ouvertures sur le parc et d’un ensoleillement optimal.
Des masses en mouvement
Les deux bâtiments constituant les logements sont décomposés en volumes de hauteurs variables, la hauteur du bâtiment le plus haut étant 50m. Les blocs ainsi créés sont superposés puis décalés les uns par rapport autres.
L’objectif est de créer des mouvements dynamiques plus que des volumétries statiques, des rythmes plus que des objets fixes. Ces mouvements et ces rythmes associés à l’architecture déjà riche du contexte immédiat permettent d’inventer une nouvelle “musique de la ville”.
Ces décalages permettent également de créer plus d’espaces extérieurs et d’optimiser les règles d’urbanisme, notamment les prospects.
La stratégie architecturale de ce projet est le fruit d’une réflexion poussée pour éviter un classement IGH du bâtiment.
Performances Environnementales HQE
Certification Habitat & Environnement profil A. Certification BBC Effinergie
Performances thermique des bâtiments avec réduction des besoins de chauffages à 14 kwh/m2/an.
Respect du Plan Climat de la Ville de Paris Production photovoltaïque exigée : 44MWh€/an
L’audit CPEDD du projet s’acte sur plusieurs points importants
Les objectifs de consommations (ceux apparaissant ci-dessous ont été négociés en phase PRO‐DCE) :
- Chauffage : 17,3 kWhep/m².an à Finalement, nous sommes plus performants avec 11,6
kWhep/m².an
- ECS : 23,1 kWhep/m².an à Finalement, nous sommes plus performants avec 22,1
kWhep/m².an
- Electricité usages collectifs : 43,2 kWhep/m².an à Finalement, nous sommes plus
performants avec 42,9 kWhep/m².an
Les objectifs du Plan Climat sont atteints : le projet global a des consommations en énergie totales inférieures à 50kWh/m²SHON.an. Nous sommes à 48 kWh/m².an.
Une production photovoltaïque mise en place : 49 790 kWhef/an soit 49,8 MWhef/an
Une Perméabilité à l’air de l’enveloppe des logements et partie FAM/PMI : Ces tests sont inférieurs à 1 m3/h.m². Actuellement, les tests sur les logements qui sont conformes (A : 0,309 et B : 0,49 m3/m².h)
Le confort d’été doit être analysé et explicité aux usagers afin qu’il puisse contrôler cet aspect au sein de leur logement. Dans notre cas, les Simulations Thermiques Dynamiques (STD) mettent en avant la nécessité de sur‐ventiler la nuit (en ouvrant les fenêtres) et l’installation de protections solaires. Le carnet de vie à destination des usagers met en lumière ces prescriptions.