Le Pavillon de l’Arsenal, accueille les photographies de l’exposition "Sacs contre sac", et propose une vision insolite de notre patrimoine architectural.
Témoignages consciencieux, les photographies présentées sont également empreintes de mystère et de poésie.
Saint Eustache, Notre Dame de Paris, la cathédrale de Reims, la fontaine de l’Observatoire ou celle des Innocents, le Louvre... s’effacent derrière une accumulation de "sac à terre"; L’identité même du bâtiment semble altérée au profit d’une architecture composite et étrange.
Ces installations fascinantes interrogent le visiteur, autant qu’elles le renseignent en donnant à voir ces monuments sous un jour nouveau.
Plus de 130 photographies originales présentent les dispositifs mis en oeuvre, au moyen de sacs de sable, durant les guerres de 14-18 et 39-45, pour assurer la pérennité des monuments.
L’appareillage rigoureux d’un même élément de construction, le " sac à terre ", au format normalisé - 50x25x15 -, couvre de son anonymat les chefs d’œuvre de notre architecture.
Sous cet ecrin de toile de jute et de sable, ces chefs d’oeuvres, méconnaissables ou sublimés, révèlent leur paradoxale fragilité.
Saint Eustache, Notre Dame de Paris, la cathédrale de Reims, la fontaine de l’Observatoire ou celle des Innocents, le Louvre... s’effacent derrière une accumulation de "sac à terre"; L’identité même du bâtiment semble altérée au profit d’une architecture composite et étrange.
Ces installations fascinantes interrogent le visiteur, autant qu’elles le renseignent en donnant à voir ces monuments sous un jour nouveau.
Plus de 130 photographies originales présentent les dispositifs mis en oeuvre, au moyen de sacs de sable, durant les guerres de 14-18 et 39-45, pour assurer la pérennité des monuments.
L’appareillage rigoureux d’un même élément de construction, le " sac à terre ", au format normalisé - 50x25x15 -, couvre de son anonymat les chefs d’œuvre de notre architecture.
Sous cet ecrin de toile de jute et de sable, ces chefs d’oeuvres, méconnaissables ou sublimés, révèlent leur paradoxale fragilité.