Communiqué de presse
Porche, hall, escalier, ascenseur, couloir, terrasse partagée, coursive, local vélo, potager… que disent de notre société la grammaire des parties communes et leur usage quotidien ?
Jamais une étude n’avait abordé les parties communes sous l’angle architectural dans le contexte français. L’exposition Parties Communes, avec les commissaires Aldrick Beckmann et Jean-Philippe Hugron, permet cette exploration. A l’aide d’une analyse historique et contemporaine, l’exposition s’adresse autant aux professionnels de la ville qu’aux habitantes et habitants de Paris et du Grand Paris. Elle permet d’approcher ces lieux familiers comme des complexes spatiaux à part entière et d’en décortiquer leur conception et leurs usages.
L’exposition Parties Communes explore les enjeux architecturaux, sociaux et économiques autour de ces espaces du quotidien à travers un inventaire fourni de documents d’archives, de plans et de schémas. Des études de cas d’architectures métropolitaines détaillant les différentes typologies de parties communes sont complétées par un travail d’enquête sur leurs usages contemporains à l’aide de photographies,de témoignages et de représentations artistiques.
En tant que premiers lieux de sociabilités, les parties communes fonctionnent comme des réseaux sociaux incontournables et palpables pour les habitantes et habitants des villes. Mais dans un contexte de marché immobilier tendu et de densification, laisser de la place aux parties communes semble être devenu un nouveau défi pour les concepteurs privés comme publics. De plus en plus perçues comme une variable d’ajustement à réduire, elles sont encore l’objet d’ambition pour certains architectes, bailleurs ou promoteurs pour rendre leurs proportions et leurs usages plus généreux.
Avec un regard scientifique et sensible sur ces lieux, l’exposition permet d’appréhender l’avenir des parties communes avec justesse et de considérer leur qualité essentielle dans la vie en collectivité comme une source de rencontres, d’attention à l’autre, d'entraide.
Une exposition partagée… dans une nouvelle partie commune !
Parce qu’elles sont au cœur de la vie collective, les parties communes sont aussi des lieux d’inclusion, d’échanges et de rencontres.
Dans le cadre de son hors les murs métropolitain, le Pavillon de l’Arsenal a le plaisir d’installer l’exposition Parties Communes en partenariat avec Plateau Urbain, coopérative d’urbanisme temporaire, au cœur du site de l’ancien hôpital La Rochefoucauld.
Transformant temporairement le site en tiers-lieu solidaire en attendant la création du futur projet qui viendra compléter les bâtiments historiques existants, Plateau Urbain s’associe aux promoteurs Giboire et Galia ainsi qu’à ’Assistance publique – Hôpitaux de Paris (APHP) pour assurer une période d’occupation transitoire prévue pour une durée de 18 mois et visant à expérimenter des usages écologiques, inclusifs et ancrés localement avant la réhabilitation complète du site. Le jardin sera ouvert pour la première fois aux parisiens et devient un laboratoire écologique, social et pédagogique.
Le site accueille dans ses locaux, des actrices et acteurs de l’économie sociale et solidaire. L’association Aurore, acteur majeur de l’insertion sociale, l’ESAJ (École Supérieure d’Architecture des Jardins), l’ESA (École Spéciale d’Architecture) et l'association Le Récho, traiteur humaniste, coopèrent avec 48 structures occupantes pour faire de ce lieu un espace de préservation écologique, de création et de mixité des publics.
Cette collaboration est l’opportunité pour le Pavillon de l’Arsenal d’aller à la rencontre de nouveaux publics notamment à travers un programme de médiation en partenariat avec l’association Auroreengagée dans l’accueil et l’accompagnement des personnes en situation de précarité.
L’exposition Parties Communes donnera lieu à une programmation culturelle partagée également avec le grand public : médiations commentées, jeu de construction par le coloriage pour le jeunes publics et les familles, temps de rencontres et projections de films. L’exposition devient ainsi un espace d’expérimentation et de dialogue, à l’image des lieux qu’elle explore.
Porche, hall, escalier, ascenseur, couloir, terrasse partagée, coursive, local vélo, potager… que disent de notre société la grammaire des parties communes et leur usage quotidien ?
Jamais une étude n’avait abordé les parties communes sous l’angle architectural dans le contexte français. L’exposition Parties Communes, avec les commissaires Aldrick Beckmann et Jean-Philippe Hugron, permet cette exploration. A l’aide d’une analyse historique et contemporaine, l’exposition s’adresse autant aux professionnels de la ville qu’aux habitantes et habitants de Paris et du Grand Paris. Elle permet d’approcher ces lieux familiers comme des complexes spatiaux à part entière et d’en décortiquer leur conception et leurs usages.
L’exposition Parties Communes explore les enjeux architecturaux, sociaux et économiques autour de ces espaces du quotidien à travers un inventaire fourni de documents d’archives, de plans et de schémas. Des études de cas d’architectures métropolitaines détaillant les différentes typologies de parties communes sont complétées par un travail d’enquête sur leurs usages contemporains à l’aide de photographies,de témoignages et de représentations artistiques.
En tant que premiers lieux de sociabilités, les parties communes fonctionnent comme des réseaux sociaux incontournables et palpables pour les habitantes et habitants des villes. Mais dans un contexte de marché immobilier tendu et de densification, laisser de la place aux parties communes semble être devenu un nouveau défi pour les concepteurs privés comme publics. De plus en plus perçues comme une variable d’ajustement à réduire, elles sont encore l’objet d’ambition pour certains architectes, bailleurs ou promoteurs pour rendre leurs proportions et leurs usages plus généreux.
Avec un regard scientifique et sensible sur ces lieux, l’exposition permet d’appréhender l’avenir des parties communes avec justesse et de considérer leur qualité essentielle dans la vie en collectivité comme une source de rencontres, d’attention à l’autre, d'entraide.
Une exposition partagée… dans une nouvelle partie commune !
Parce qu’elles sont au cœur de la vie collective, les parties communes sont aussi des lieux d’inclusion, d’échanges et de rencontres.
Dans le cadre de son hors les murs métropolitain, le Pavillon de l’Arsenal a le plaisir d’installer l’exposition Parties Communes en partenariat avec Plateau Urbain, coopérative d’urbanisme temporaire, au cœur du site de l’ancien hôpital La Rochefoucauld.
Transformant temporairement le site en tiers-lieu solidaire en attendant la création du futur projet qui viendra compléter les bâtiments historiques existants, Plateau Urbain s’associe aux promoteurs Giboire et Galia ainsi qu’à ’Assistance publique – Hôpitaux de Paris (APHP) pour assurer une période d’occupation transitoire prévue pour une durée de 18 mois et visant à expérimenter des usages écologiques, inclusifs et ancrés localement avant la réhabilitation complète du site. Le jardin sera ouvert pour la première fois aux parisiens et devient un laboratoire écologique, social et pédagogique.
Le site accueille dans ses locaux, des actrices et acteurs de l’économie sociale et solidaire. L’association Aurore, acteur majeur de l’insertion sociale, l’ESAJ (École Supérieure d’Architecture des Jardins), l’ESA (École Spéciale d’Architecture) et l'association Le Récho, traiteur humaniste, coopèrent avec 48 structures occupantes pour faire de ce lieu un espace de préservation écologique, de création et de mixité des publics.
Cette collaboration est l’opportunité pour le Pavillon de l’Arsenal d’aller à la rencontre de nouveaux publics notamment à travers un programme de médiation en partenariat avec l’association Auroreengagée dans l’accueil et l’accompagnement des personnes en situation de précarité.
L’exposition Parties Communes donnera lieu à une programmation culturelle partagée également avec le grand public : médiations commentées, jeu de construction par le coloriage pour le jeunes publics et les familles, temps de rencontres et projections de films. L’exposition devient ainsi un espace d’expérimentation et de dialogue, à l’image des lieux qu’elle explore.


