"Transformer la ville c’est d’abord transformer le regard. C’est la voir comme un assemblage de capacités, d’énergies à prolonger et non comme une masse inerte à modeler.
C’est la réfléchir comme une agglomération d’activités et d’espaces habités. Les conditions pour penser la ville reposent sur la combinaison de trois objectifs : produire de la qualité d’habiter, des situations de grand confort, et densifier le territoire. Ces ambitions doivent rester interdépendantes et simultanées. Il n’est plus possible de prétendre à l’évolution de la ville sans se questionner sur les raisons d’y vivre et d’y rester.
Défendre le plaisir d’habiter nous paraît éminemment politique, aujourd’hui. La générosité spatiale est le point de départ d’une vie sociale possible.
Attitude
Il s’agit d’apporter des réponses « extraordinaires » en matière de qualités des logements.
Prioritairement
Il s’agit de rendre toutes les situations existantes remarquables.
En s’attachant prioritairement à ce qui est mal aimé, maudit, désastreux ou inachevé, tout ce qui est « sensible ».
Concomitamment
Il s’agit d’engager la réalisation de nouveaux logements dans une action synchrone avec la transformation des logements en situations de « fragilité » et l’adaptation des territoires fonctionnels « inachevés ».
Avec Précision
C’est un travail qui mise sur la précision, la délicatesse, la gentillesse, l’attention : attention aux gens, aux usages, aux constructions, aux arbres, aux sols asphaltés, aux bestioles, à tout ce qui existe et qui a permis jusqu’à ce jour d’abriter, guider, rassembler, charmer.
Préceptes
Il s’agit de ne plus jamais démolir,
il s’agit de ne jamais défaire, mais renforcer par addition l’équilibre d’organisations urbaines existantes,
il s’agit de ne pas tailler dans le vivant,
il s’agit de soustraire le logement à ses classifications sociales et financières.
Il s’agit de s’opposer au logement « Produit financier» pour faire correspondre offre et besoins.
Il s’agit de rendre au logement les facilités d’usage qui lui manquent depuis 50 ans.
Unité de mesure urbaine
L’unité de mesure urbaine c’est le logement :
Pas des logements mais 1 logement, -c’est à dire une attention continue au contenu-, multipliée 9 000 fois, 50 000 fois, 1 000 000 de fois...
Défendre le plaisir d’habiter nous paraît éminemment politique, aujourd’hui. La générosité spatiale est le point de départ d’une vie sociale possible.
Attitude
Il s’agit d’apporter des réponses « extraordinaires » en matière de qualités des logements.
Prioritairement
Il s’agit de rendre toutes les situations existantes remarquables.
En s’attachant prioritairement à ce qui est mal aimé, maudit, désastreux ou inachevé, tout ce qui est « sensible ».
Concomitamment
Il s’agit d’engager la réalisation de nouveaux logements dans une action synchrone avec la transformation des logements en situations de « fragilité » et l’adaptation des territoires fonctionnels « inachevés ».
Avec Précision
C’est un travail qui mise sur la précision, la délicatesse, la gentillesse, l’attention : attention aux gens, aux usages, aux constructions, aux arbres, aux sols asphaltés, aux bestioles, à tout ce qui existe et qui a permis jusqu’à ce jour d’abriter, guider, rassembler, charmer.
Préceptes
Il s’agit de ne plus jamais démolir,
il s’agit de ne jamais défaire, mais renforcer par addition l’équilibre d’organisations urbaines existantes,
il s’agit de ne pas tailler dans le vivant,
il s’agit de soustraire le logement à ses classifications sociales et financières.
Il s’agit de s’opposer au logement « Produit financier» pour faire correspondre offre et besoins.
Il s’agit de rendre au logement les facilités d’usage qui lui manquent depuis 50 ans.
Unité de mesure urbaine
L’unité de mesure urbaine c’est le logement :
Pas des logements mais 1 logement, -c’est à dire une attention continue au contenu-, multipliée 9 000 fois, 50 000 fois, 1 000 000 de fois...