Maison des adolescents / Maison de Solenn
Pour vous rendre à la Maison des Adolescents, vous longez, en sortant du RER, le boulevard du Port Royal. A l'endroit où le bâti s'infléchit, vous êtes arrivé. Vous la voyez de loin, du reste, dans la perspective dégagée. De ses longs bras elle vous accueille. Dans l'espace que libère le bâtiment en se creusant, la ville entre. La chaussée se dilate pour constituer une esplanade, lieu public, urbain, lové au sein de l'établissement. En offrant l'espace à la ville, la Maison des Adolescents attire la ville à elle. Elle prend du recul pour mieux l'embrasser. Du recul aussi pour ménager un temps. Celui dont aura peut être besoin l'adolescent pour se décider à rentrer. Il pourra alors s'attarder sur les emmarchements, se mélanger à ceux qui, immanquablement, viendront profiter d'un espace libre, protégé, arboré, dans la ville.
Maîtrise d'oeuvre : Jean-Marc Ibos et Myrto Vitart
Maîtrise d'ouvrage : Fondation Hôpitaux de Paris, Hôpitaux de France, Assistance Publique des Hôpitaux de Paris
Centre de secours et unité de maintenance pour la brigade des sapeurs-pompiers à Nanterre
La vie du Centre de Secours fait référence sous tous ses aspects à la notion d'efficacité. Efficacité dans le traitement de l'urgence, nécessité absolue, qui suppose une centralisation de l'information et une organisation très stricte des espaces pour favoriser le rassemblement des hommes dans un délai optimum. Efficacité dans la gestion du lieu avec, pour conséquence, une volonté exprimée de simplicité et plus généralement une adéquation optimum des espaces à leur fonction. Ce fonctionnalisme, au sens propre du terme, est la principale caractéristique du Centre de Secours. C'est de la justesse de la réponse à la problématique posée que naît l'esthétique du bâtiment, la lisibilité parfaite du fonctionnement étant alors portée au rang de représentation de la fonction. - Jean-Marc Ibos et Myrto Vitart
Pour vous rendre à la Maison des Adolescents, vous longez, en sortant du RER, le boulevard du Port Royal. A l'endroit où le bâti s'infléchit, vous êtes arrivé. Vous la voyez de loin, du reste, dans la perspective dégagée. De ses longs bras elle vous accueille. Dans l'espace que libère le bâtiment en se creusant, la ville entre. La chaussée se dilate pour constituer une esplanade, lieu public, urbain, lové au sein de l'établissement. En offrant l'espace à la ville, la Maison des Adolescents attire la ville à elle. Elle prend du recul pour mieux l'embrasser. Du recul aussi pour ménager un temps. Celui dont aura peut être besoin l'adolescent pour se décider à rentrer. Il pourra alors s'attarder sur les emmarchements, se mélanger à ceux qui, immanquablement, viendront profiter d'un espace libre, protégé, arboré, dans la ville.
Maîtrise d'oeuvre : Jean-Marc Ibos et Myrto Vitart
Maîtrise d'ouvrage : Fondation Hôpitaux de Paris, Hôpitaux de France, Assistance Publique des Hôpitaux de Paris
Centre de secours et unité de maintenance pour la brigade des sapeurs-pompiers à Nanterre
La vie du Centre de Secours fait référence sous tous ses aspects à la notion d'efficacité. Efficacité dans le traitement de l'urgence, nécessité absolue, qui suppose une centralisation de l'information et une organisation très stricte des espaces pour favoriser le rassemblement des hommes dans un délai optimum. Efficacité dans la gestion du lieu avec, pour conséquence, une volonté exprimée de simplicité et plus généralement une adéquation optimum des espaces à leur fonction. Ce fonctionnalisme, au sens propre du terme, est la principale caractéristique du Centre de Secours. C'est de la justesse de la réponse à la problématique posée que naît l'esthétique du bâtiment, la lisibilité parfaite du fonctionnement étant alors portée au rang de représentation de la fonction. - Jean-Marc Ibos et Myrto Vitart